une meilleure stabilit\u00e9 <\/strong>du quadrant inf\u00e9rieur (pieds et jambes)<\/li><\/ul>L'\u00e9quilibre que nous sommes capables de d\u00e9velopper joue un r\u00f4le fondamental dans le maintien de la stabilit\u00e9 du quadrant inf\u00e9rieur.<\/strong>Par cons\u00e9quent, l'une des strat\u00e9gies utilis\u00e9es par les coureurs consiste \u00e0 effectuer des exercices de conditionnement, en mont\u00e9e et en descente, qui renforceront l'endurance physique de l'athl\u00e8te.<\/p>Une bonne technique de course en trail est primordiale \/ Photo : Brian Metzler<\/figcaption><\/figure>Une technique de course s\u00fbre, qui r\u00e9duit la vitesse de la force d'impact, sera automatiquement une technique plus efficace. La raison en est simple : le coureur n'utilisera pas autant d'\u00e9nergie pour avancer dans la course<\/strong>.<\/p>Les techniques de carri\u00e8re inefficaces : quelles sont-elles et sous quelles caract\u00e9ristiques peuvent-elles \u00eatre identifi\u00e9es ?<\/h3> Le la consommation d'\u00e9nergie <\/strong>est l'un des facteurs les plus d\u00e9cisifs pour qualifier une technique de course. Une technique de course sera totalement inefficace si sa mise en \u0153uvre n\u00e9cessite une grande quantit\u00e9 d'\u00e9nergie corporelle, ce qui implique une diminution directe de la distance parcourue et du temps de course.<\/p>Une technique inefficace est identifi\u00e9e par une foul\u00e9e trop longue, \u00e9loign\u00e9e de l'objet. centre de gravit\u00e9<\/strong>En quoi cela est-il pertinent ? Parce que, m\u00eame si son intention est d'acc\u00e9l\u00e9rer, le coureur va avancer en coupant continuellement l'inertie qui le propulse vers l'avant. Par cons\u00e9quent, le coureur devra faire un grand effort pour se propulser \u00e0 nouveau vers l'avant.<\/p>Une autre chose \u00e0 noter \u00e0 propos de ces techniques de course \u00e0 pied est leur vitesse \u00e9lev\u00e9e \u00e0 la force d'impact (VLR)<\/strong>Cela a un impact cons\u00e9quent sur la structure osseuse du coureur et peut provoquer des blessures. S'il y a \u00e9galement un d\u00e9placement vertical notable, la cadence de course sera r\u00e9duite.<\/p>En suivant une telle technique, la course ressemblera plus \u00e0 une progression de sauts successifs qu'\u00e0 un syst\u00e8me d'\u00e9tapes efficaces et coh\u00e9rentes.<\/p>
Comment identifier une technique de course efficace ? Facteurs de pr\u00e9vention des blessures<\/h3> Une technique de course \u00e0 pied en course sur sentier <\/em>Tous les physioth\u00e9rapeutes classeront la maladie dans la cat\u00e9gorie des efficace lorsque le niveau d'\u00e9nergie \u00e0 utiliser est minimal <\/strong>et faible par rapport \u00e0 la moyenne \u00e9tablie.<\/p>Plusieurs raisons rendent possible cette \u00e9chelle de performance : d'une part, la charge \u00e9nerg\u00e9tique plus importante est \u00e9conomis\u00e9e en \u00e9tablissant un point de contact avec le sol tr\u00e8s proche du centre de gravit\u00e9 de l'athl\u00e8te ; d'autre part, la charge \u00e9nerg\u00e9tique plus importante est \u00e9conomis\u00e9e en \u00e9tablissant un point de contact avec le sol tr\u00e8s proche du centre de gravit\u00e9 de l'athl\u00e8te. En r\u00e9sum\u00e9, le talon doit toucher le sol juste en dessous du centre de gravit\u00e9 du corps<\/strong>.<\/p>Une autre chose qui se produit, c'est qu'en ayant une technique d'ex\u00e9cution en course sur sentier<\/em> efficace, c'est qu'il est r\u00e9duit la vitesse de la force d'impact<\/strong>Les pieds et les articulations du coureur sont moins vuln\u00e9rables aux blessures.<\/p>De la m\u00eame mani\u00e8re, le temps de contact avec le sol sera beaucoup plus court.<\/strong>Le coureur pourra utiliser l'\u00e9lan qu'il a d\u00e9j\u00e0 pour continuer \u00e0 avancer. Si la technique r\u00e9duit le d\u00e9placement vertical<\/strong>Dans ce cas, la trajectoire du coureur sera plus lin\u00e9aire et optimale, car pour se d\u00e9placer, le coureur devra d\u00e9penser beaucoup moins d'\u00e9nergie.<\/p>Pour clore cette section, une technique de course efficace aide \u00e0 augmenter le rythme de la marche<\/strong>. L'athl\u00e8te peut choisir celle avec laquelle il se sent le plus \u00e0 l'aise, mais il est possible d'atteindre une cadence d'environ 180 pas par minute.<\/p>