L'auto-arrêt, une technique de sécurité fondamentale en montagne
Les l'autodiscipline en montagne avec un piolet s'impose comme une technique indispensable en cas de chute dans les montagnes hivernales. Toute excursion en montagne comporte un certain degré de risque. Cependant, il est possible de minimiser les accidents en utilisant des techniques appropriées.
Il convient de noter qu'il est toujours absolument nécessaire d'obtenir les conseils d'experts en montagne ou de suivre des cours afin de pouvoir pratiquer l'alpinisme avec toute la sécurité possible.
Qu'est-ce que l'auto-stop en montagne ?
En alpinisme, la technique de l'autolimitation est la technique qu'il faut mettre en pratique dans les situations suivantes en cas de glissade ou de chute sur une pente.. Dans les montagnes hivernales, cette technique est appliquée sur les pentes gelées ou enneigées.
Comme pour tous les détails qui composent l'alpinisme, pour pratiquer l'auto-arrêt, il est nécessaire de maîtriser la technique. Il ne s'agit pas d'une connaissance intuitive, mais au contraire d'un apprentissage : une chute en montagne peut être fatale.
C'est pourquoi, au début de chaque saison hivernale, il est bon de pratiquer les différentes formes d'auto-arrêt en montagne afin de pouvoir utiliser la bonne technique au moment où l'on en a le plus besoin, c'est-à-dire lorsque sa vie est en danger.
La retenue en montagne peut vous sauver la vie
Tomber en arrière, les pieds en premier
Afin d'effectuer un auto-freinage en cas de chute, il est nécessaire d'avoir un piolet. Cet outil doit être tenu par le garrot et par la lame. Au moment de la chute, il doit être tourné rapidement sur la main puis croisé sur la poitrine. En d'autres termes, la pelle sera placée sur la partie supérieure de l'épaule et la pioche sera prête à s'enfoncer dans la neige pour briser la chute.
L'une de vos mains tiendra le piolet à l'extrémité du manche, avec vos coudes près de votre corps, agissant comme un levier. C'est la position de freinage qui permet d'arrêter la chute plus rapidement et plus efficacement. Cette même position sera utilisée pour les autres techniques d'auto-arrêt, même si des ajustements seront faits pour le freinage sur des chutes différentes.
En montagne, vous aurez généralement crampons Il est donc important que les pieds soient surélevés pendant la chute pour éviter que les crampons ne s'enfoncent dans la glace et ne provoquent un "crunch".effet catapulte". Cela signifie que si la vitesse de chute est trop rapide, la force de la chute vous soulèvera du sol lorsque vous poserez vos crampons sur la neige et vous fera tomber violemment vers l'avant.
Tomber face à l'avant, face à l'arrière
Lorsque la chute est frontale, le piolet doit être collé sur le côté du corps. Cela permet au piolet d'agir comme un pivot. Le corps entier tournera d'un côté lorsque la vitesse de glissement de la chute ralentira et se retrouvera dans la position de freinage standard.
En cas de chute frontale, il faut lever les pieds pour que les crampons ne s'enfoncent pas dans la neige et agir rapidement avec le piolet. Comme mentionné ci-dessus, le piolet doit être planté dans la neige sur le côté du corps, ce qui arrêtera la chute et fera pivoter le corps jusqu'à ce qu'il devienne immobile.
La tête en bas et le visage en haut
Ce type de chute est également souvent appelé la chute du chat. Elle est également classée par de nombreux alpinistes comme la pire de toutes les chutes.
En tombant dans cette position, la tête en bas et le visage vers le haut, le corps doit également pivoter, avec le piolet comme axe. En d'autres termes, le corps glisse sur la neige et la personne regarde vers le ciel, la tête en avant.
Il faut nécessairement lever un peu les pieds pour éviter que les crampons ne s'enfoncent dans la glace, ce qui pourrait aggraver la chute. Le piolet doit ensuite être enfoncé dans la neige, la pointe du piolet sur le côté du corps.
Ce mouvement permet au corps de pivoter et de changer de posture, pour devenir stationnaire et se retrouver face contre terre en position de freinage.
C'est en forgeant qu'on devient forgeron
Les experts en alpinisme soulignent qu'il faut toujours L'autodétention doit être pratiquée dès le début de la saison hivernale.. La raison en est qu'il est toujours nécessaire pour les alpinistes de pratiquer ces techniques afin de pouvoir les exécuter efficacement en cas de chute.
La progression de la pratique de l'auto-arrêt en montagne doit suivre ce principe : dans un premier temps, pratiquez les techniques sans crampons ni sac à dos afin de vous concentrer sur l'exécution correcte de la manœuvre.
Une fois la technique maîtrisée, pratiquez l'auto-stop avec vos crampons. N'oubliez pas de ne pas poser vos crampons sur la neige pour éviter l'effet "catapulte".
Une fois que vous avez maîtrisé l'auto-arrêt avec les crampons, il est temps de pratiquer ces manœuvres. avec un sac à dos. Veillez à ce que le sac à dos soit aussi lourd dans la pratique qu'il l'est lorsque vous le portez pour une randonnée. De cette manière, la pratique de l'auto-arrêt se rapprochera des circonstances de la vie réelle.
Bien entendu, lorsque vous vous entraînez à l'auto-arrêt en montagne, essayez de le faire sur une pente où il y a des protections qui vous empêchent de continuer à glisser sans contrôle. Vous pourriez vous blesser ou blesser quelqu'un d'autre.
Précautions à prendre lors de l'autodéclaration dans la réalité
- La pratique de l'autolimitation en montagne vise à faire de cette technique une réalité. une auto-réflexionPlus la chute est longue, plus vous mettrez de temps à vous arrêter lors de l'auto-arrêt, de sorte que vous puissiez effectuer la manœuvre dès le début de la chute, car elle sera plus efficace. Plus la chute est longue, plus vous mettrez de temps à vous arrêter lors de l'auto-arrêt.
- Si vous vous trouvez sur un col de montagne délicat et que vous avez peur de tomber, soyez prudent et soutenez-vous. le piolet prêt à l'emploi d'effectuer un auto-arrêt en cas de chute, c'est-à-dire en tenant le piolet au niveau du garrot avec une main légèrement au-dessus de l'épaule et en le tenant avec l'autre main à l'extrémité du manche de manière à ce qu'il soit croisé devant la poitrine.